jeudi 11 septembre 2008

Devant un verre d’eau
L’attente d'une fleur fragile :
La Pensée


Seul le vide m'emplit jusqu'à l'écœurement
Je suis d’eau et de silence, d’ennui et de temps
De toutes ces choses qui pèsent lourd sur la conscience
Mais qui ne valent rien


Artillerie lourde
Dans nos yeux et dans nos voix
On aurait pu en rire
Encore une fois

Mais

Tant de fracas pour rien
Juste pour vivre
Tout ce fracas de cœurs.